Stranger Things, ça parle de quoi ?
Alliant science-fiction, thriller et horreur, la série Stranger Things a été créée par Matt et Ross Duffer.
L’histoire se déroule en 1983 à Hawkins dans l’Indiana. Se lançant à la recherche d’un petit garçon disparu, les amis de Will Byers croisent une jeune fille en fuite, au crâne rasé et portant un 11 en tatouage sur son poignet ; peu à peu, ils découvrent d’étranges détails sur elle. Ne serait-elle pas la clef des nombreux mystères qui planent sur cette ville qui n’est paisible qu’en aspect ?
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Pourquoi cette série est-elle si addictive ?
Se laisser aller à regarder le premier épisode de cette série un soir d’ennui est l’assurance de se faire happer par l’histoire et de ne plus pouvoir en décrocher. Dès le début, les personnages tout comme le téléspectateur sont confrontés à des phénomènes surnaturels inquiétants en lien avec un laboratoire d’expérimentation. Dès lors, tous n’auront plus qu’une envie : découvrir ce qui se cache derrière tout cela.
De jeunes acteurs plein d’avenir
Que serait une histoire palpitante si elle n’était pas portée par un groupe d’acteurs au top ? En plus de reposer sur un scénario parfaitement ficelé, Stranger Things peut s’appuyer sur un casting époustouflant d’un jeune groupe d’enfants au talent déjà bien affirmé, entourés de Winona Ryder, qui fait ici son grand retour après Black Swan en 2010 dans le rôle d’une mère tourmentée, David Harbour ou encore Matthew Modine.
On est notamment fans de Gaten Matarazzo, un garçon taquin et craquant, mais aussi et surtout Millie Bobby Brown, qui n’a pas reculé devant le rasage de sa crinière brune pour incarner son personnage de jeune télépathe au passé trouble.
Une série à donner des frissons
Présentée comme une série sci-fi, Stranger Things ne pouvait faire l’impasse sur une créature cauchemardesque. Et celle imaginée par les auteurs de la série n’a rien à envier aux stars des pires films d’horreur ; le monstre sournois et effrayant que les enfants surnomment Demogorgon entraîne ses victimes dans un monde parallèle pour le moins terrifiant.
Un retour en arrière avec une ambiance années 80
Avec une bande-son légèrement nostalgique qui fait appel aux Clash, à Trooper, encore Dolly Parton, des téléphones antédiluviens, des vêtements largement démodés et de multiples références culturelles à cette période, la série Stranger Things dépayse le téléspectateur en l’entraînant dans une ambiance années 80.
Avec tous ces ingrédients, on comprend facilement pourquoi Netflix a déjà signé pour une saison 2 en 2017.
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