Un film futuriste avec Vin Diesel
Vin Diesel, Michelle Yeoh et Mélanie Thierry.
Originaire de New York, Vin Diesel n'est pas seulement l'acteur aux gros bras médiatisé par Hollywood. C'est avant tout un auteur. En effet, après le lycée, il intègre le Hunter College où il se spécialise en littérature anglaise et où il s'initie à l'écriture. Il se met ensuite à écrire ses premiers scénarios. Avant de s'imposer dans des grosses productions, Vin Diesel a écrit, produit, réalisé et interprété le court métrage indépendant MULTI-FACIAL, réflexion sur la société multiethnique d'aujourd'hui. Dans ce film, Diesel incarne un apprenti comédien métissé qui, lors de ses auditions, s'entend dire qu'il est soit «trop noir», soit «trop blanc» pour le rôle. C'est après avoir vu ce court métrage au festival de Cannes en 1995 que Steven Spielberg écrit spécialement pour lui le rôle du 2ème classe Carpazo dans « Il faut sauver le soldat Ryan ». Sa carrière d'acteur pouvait enfin débuter. Héros de plusieurs films à gros budget comme « Fast &Furious », XXX ou encore « Un homme à part », Vin Diesel s'est aussi essayé à la comédie dans le dernier film d'Adam Shakmann « Babysittor ». Il est aujourd'hui l'un des acteurs américains les plus en vue.
« Mathieu Kassovitz a réalisé un vrai film de gros bras dans la plus pure tradition des meilleurs Scharzi ou Stallone. Héros solitaire, bourru mais au bon fond, toujours une bonne petite phrase après avoir rétamé les opposants. Et dans ce style Vin Diesel s’en sort largement avec les honneurs… »
www.commeaucinema.com
« …le thriller d'anticipation de Kassovitz oppose une stylisation glacée et un discours mystico-fantastique d'assez mauvais goût. Pire, les scènes d'action, nerfs de telles productions, sont sporadiques et bâclées. Ni blockbuster, ni film d'auteur, Babylon AD se situe dans un entre deux impossible et forcément frustrant »
www.premiere.com
« Les scènes d'action- avec force d'explosions- s'enchaînent sans jamais vraiment nous interpeller sur l'enjeu métaphysique de ce voyage qui mêle clonage, religion et intelligence artificielle.. Heureusement, Kassovitz offre des flashs de virtuosité au détour de quelques scènes comme celle du sous-marin pris dans les glaces..»
www.studiomagazine.fr
« S'il parvient à donner du corps à cet univers chaotique, et qu'on se laisse embarquer sans ciller dans cette course vers l'inconnu, on regrette que le spectre d'une organisation religieuse toute puissante ne plane davantage sur Babylon A.D »
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