Ne tombez pas dans le piège ! Guide de survie pour répondre aux questions pièges des femmes

©Timur Weber

Pour vous obliger à une action ou vous faire culpabiliser, les femmes ont toujours d’embarrassantes questions pièges qu’elles savent placer au bon moment.

Pourquoi les questions pièges des femmes sont souvent redoutables ?

Affirmer que les questions que posent les femmes ont le don de vous parfois faire trembler et de souvent vous embarrasser est sans doute un euphémisme.

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Que ce soit juste avant que vous fassiez l’amour, ou au sortir d’un dîner romantique en tête-à-tête, les interrogations de nos dames ont le don de tomber la plupart du temps comme un cheveu sur une soupe : on la distingue bien clairement, mais on sait qu’elle n’a rien à faire là. Ce qu’il faut comprendre au prime abord, c’est que tout est question de psychologie. « Les hommes viennent de Mars, et les femmes de Vénus », dira quelqu’un.

Quoi qu’il en soit, il est donc indéniable que les gentilshommes et les gentes dames ne fonctionnent pas de la même manière ; même si ça peut paraître cliché de le dire.

Dans une relation, les femmes ont tendance à se poser plus de questions que les hommes. Toujours un peu volages dans l’âme, les hommes ont tendance à moins se questionner sur la solidité d’une relation, parce qu’ils sont inconsciemment convaincus de pouvoir facilement se remettre de tout coup dur. Ou peut-être aussi parce que dans leur subconscient, une certaine confiance règne, convaincus qu’ils sont de pouvoir s’appuyer sur les petites aventures d’à côté.

En parallèle, les femmes aiment à avoir des certitudes. Plus elles sont attachées et ont de forts sentiments, plus elles s’interrogent et ont alors besoin d’avoir des garanties ou des éléments d’assurance.

En ce qui concerne le moment qu’elles choisissent pour poser leurs questions pièges, eh bien la raison est encore plus simple : faire l’amour, être dans les bras l’un de l’autre, vous regarder sans rien dire et laisser vos yeux parler à votre place, voilà quelques-uns des moments qui symbolisent votre amour avec votre belle. À ces instants précis, elle sent l’intensité de ce qu’elle ressent pour vous, et a l’impression que vous pouvez la démolir en une phrase ou un geste. Voilà pourquoi elle a besoin que vous la rassuriez, elle a besoin d’avoir la confirmation que vous ne ferez rien qui puisse la faire souffrir.

Voilà un peu les raisons qui expliquent les questions pièges du style « Où as-tu passé la soirée hier ? » ou encore « Suis-je la seule avec qui tu as couché ces 6 derniers mois ? » dont les femmes ont le don. Ça va, vous avez tout bien compris ? Apprenons à présent comment gérer ces questions lorsqu’elles surviennent, dear gentlemen.

©Timur Weber

Elle pose une question piège ? Restez calme

Imaginons que vous soyez dans votre canapé un samedi soir tranquille, avec votre fiancée dans vos bras. Après un passionnant baiser, vous vous apprêtez à dégrafer son soutien-gorge, au milieu d’un profond échange de regards où vous vous dites silencieusement à quel point vous vous désirez.

Et là, elle vous balance tout doucement, son regard passant subitement en mode supplication pour obtenir un OUI : « Est-ce que tu m’aimes ? ». Là, vous sentez votre érection descendre d’un cran, alors que vous vous souvenez de votre ex à qui vous réclamez encore parfois des photos coquines, coquin va !

Voyant la soirée se détériorer si vous ne gérez pas bien ces questions pièges, vous vous mettez à dégouliner de sueur. Et là, elle recule, à cause de votre hésitation, vous regardant toujours avec insistance pour obtenir la réponse qu’elle veut…

STOP ! Vous n’y êtes pas. Quoique légitime, cette réaction fera tout foirer. Vous devez faire ce que tout bon mâle sait faire le mieux : garder votre calme.

Pour vous y aider, souriez dès qu’elle pose la question, pour vous accorder le temps de peaufiner la bonne réaction à avoir ; 5 secondes suffisent à une machine bien entraînée, oups, un cerveau bien futé, pour sortir la réponse qui va déconstruire tout le film qu’elle se faisait, et même rajouter de la flamme à la soirée. Vous avez ensuite 2 options : lui sortir une réponse à laquelle elle ne s’attend assurément pas, ou poursuivre votre initiative (c’est plus risqué).

La stratégie de la réponse contre-pied

Cette stratégie pour gérer les questions pièges consiste à servir à madame une réponse qui va la réconforter, mais d’une manière qui saura la surprendre. Il faut savoir qu’à une question de ce type, votre reine s’attend soit à une réponse en mode prince charmant, un peu fleur bleue, pour la rassurer, soit une réponse jetée dans l’affolement, un baragouinage, pour confirmer ses soupçons.

©Candice Picard/ Unsplash

Vous savez quoi ? ll faut faire les deux ensemble ! Enfin, presque. Vous pouvez sortir une des réponses qu’elle craint, mais en le faisant avec tant de désinvolture que ça en a l’air faux et que ça la rassure. Quelques exemples pour illustrer.

Question : est-ce que tu m’aimes ?
Réponse : seulement quand on fait l’amour en missionnaire.

Question : qui est cette Catherine qui ose t’appeler au-delà de 22h ?
Réponse : ah je t’ai pas dit ? C’est l’une des actionnaires de ma boîte, elle me paie pour lui faire prendre son pied une fois par semaine.

Question : où étais-tu samedi matin ?
Réponse : je suis allé au tennis avec mes potes, et en route on s’est fait arrêter par un gang de blondes, tu te rends compte !

Voilà vous avez compris le principe. Si elle insiste, en vous demandant par exemple d’être franc et de ne pas vous foutre d’elle, restez sur la même dynamique, mais en variant de réponse à chaque fois. Puis après deux ou trois réponses à contre-pied, jouez à l’offusqué ou servez-lui d’un air détendu la réponse qu’elle attendait depuis le début ; dans les deux cas, elle se rendra compte que sa question est lourde, qu’elle gâche votre bon moment à deux, et vous passerez à autre chose !

Ignorer sa question et poursuivre (stratégie risquée)

Si vous optez pour cette réaction, c’est soit pour gagner du temps en vue de préparer vos réponses contre-pied (on ne réfléchit pas tous à la même vitesse), soit vous vous reprochez quelque chose et vous préférez éviter la confrontation, soit vous êtes vraiment à fond dans le moment et ne voulez pas vous arrêter. Au cas où elle vous suivrait et n’insisterait pas, vous êtes sauvé !

Par contre, si elle insiste, il vous faudra rapidement vous adapter.

Vous pouvez alors tenter la stratégie ci-dessus. Autrement, vous pouvez l’emmener dans une petite escalade sensorielle : après l’avoir ignorée et avoir tout chamboulé en elle, vous la prenez subitement dans vos bras et lui dites à quel point vous l’aimez et tenez à elle, comment aucune autre femme ne vous intéresse (si vous dites cette phrase en pensant à la jolie brune rencontrée dans le métro, il faudra être bon acteur !), comment vous oubliez tout le reste quand elle est près de vous, etc.

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