Le fantasme de l’uniforme

Que celui qui n’a jamais rêvé que l’infirmière sexy soit nue sous sa blouse jette la première pierre. Mais, pourquoi les hommes fantasment sur l’uniforme ?
8 janvier 2010 - #jeu erotique

Dis-moi ce que tu portes, je te dirai ce qui me plait !

L’uniforme a bien des atouts : il donne de la prestance, codifie un métier, peut parfois servir de protection, ou encore mettre de la distance entre celui qui le porte et les autres. Mais il semble que l’uniforme soit également souvent synonyme de fantasme. Que celui qui n’a jamais rêvé que l’infirmière sexy soit nue sous sa blouse jette la première pierre. Alors, pourquoi les hommes fantasment sur l’uniforme ?


Une histoire de soumission…
Certains uniformes renvoient directement à un pouvoir, une autorité ou statut social… et les hommes en sont dingues ! Une policière, une avocate, une banquière… Ce sentiment de soumission peut exercer un vrai désir sexuel, un désir de jouer un rôle et de se laisser dominer par une femme de pouvoir. Et aussi, le plaisir de transgresser un interdit : on ne couche pas avec son médecin, on ne drague pas une femme policière, etc. Lorsqu’un homme est excité par un membre du corps médical, cela porte même un nom : le syndrome de la blouse blanche, qui provoque des palpitations et des accélérations cardiaques. Allez, on se calme !
…ou de domination
A l’inverse, l’uniforme d’une femme « soumise » peut également éveiller le désir. En matière de sexualité, on imagine sous les uniformes de soubrette, de secrétaire ou d’écolière des créatures en position d’infériorité, dociles et farouches à la fois. L’homme se sent en position de toute puissance, et retrouve ses instincts primaires de mâle dominant. Une femme soumise est à l’écoute de ses moindres désirs et envies et se laissera guider dans tous les jeux sexuels que l’homme aura choisis. La transgression des codes  Le fantasme de l’uniforme

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L’uniforme peut également être l’objet d’un jeu transgressif, d’une barrière à ne pas franchir mais qu’il est si bon de franchir. Quel homme n’a jamais fantasmé sur l’une de ses maîtresses d’école ? Ou bien imaginé des jeux sensuels avec la mère d’un ami ? «  Décoincer » sa bourgeoise de belle-mère ou draguer sa patronne relève de l’excitation pure mêlée à de la peur, la peur de franchir une limite, la peur d’aller trop loin ou la peur de se faire prendre. Cette notion est souvent constatée dans le fantasme de l’hôtesse de l’air : elle incarne un statut, elle est aussi au service des autres mais l’excitation nait du fait qu’elle se met tout à coup au service de l’homme aux yeux de tous.
Sacrés fantasmes !
Certains vont même encore plus loin et fantasment sur des religieuses, paroxysme ultime de la profanation. On appelle cela l’hiérophilie, c’est l’attirance pour les choses sacrées et, plus précisément, pour le sacrilège. Alors, à vos costumes, et que la fête commence !