Nouvelle dynamique pour le Mazda CX-7

Mazda peut avoir le sourire. Non content d'afficher des chiffres plutôt satisfaisants, le constructeur donne aussi le sourire à ses voitures. Enfin,

Mazda peut avoir le sourire. Non content d’afficher des chiffres plutôt satisfaisants, le constructeur donne aussi le sourire à ses voitures. Enfin, façon de parler. Mais il faut bien reconnaître que les différents restylages auxquels ont eu droit les Mazda donnent à ces modèles un air plutôt joyeux.

Pas de révolution esthétique
Après le roadster MX-5, en début d’année 2009, c’est au tour du crossover CX-7 d’avoir droit à un ravalement de façade. Deux ans après son arrivée en Europe, le SUV japonais avait indéniablement besoin de ce petit rafraîchissement pour faire face à la concurrence. Le CX-7 nouvelle génération affiche un caractère sportif plus affirmé. Cela se traduit notamment par une face avant plus dynamique, qui donne donc un nouveau « sourire » à cette Mazda. Toutefois, il ne faut pas s’attendre à une véritable révolution d’un point de vue esthétique.

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Un vieux CX-7 trop gourmand
A l’intérieur aussi, un vent de fraîcheur souffle sur le Mazda CX-7. Si la planche de bord et l’habitacle reçoivent une finition plus soignée, le résultat demeure tout de même largement perfectible. Percetible, le CX-7 l’était surtout au niveau de sa motorisation. Non pas que les performances routières du crossover étaient mauvaises, mais l’unique bloc disponible, un 2.3 DISI turbo de 260 chevaux, a eu du mal à séduire le public, dans un marché où le diesel règne en maître.

Un vent frais nommé… diesel
Mazda a donc corrigé le tir en dotant son SUV d’un moteur diesel 2.2 de 173 chevaux avec système de réduction catalytique sélective. Du coup, le CX-7 gagne en consommation ce qu’il perd en sportivité : sa consommation s’en trouve réduite à 7,5 l/100 km (contre 10,4 l/100 km) pour des émissions en CO2 limitées à 199 g/km (contre 243 g/km). On est encore loin d’une voiture véritablement écologique, mais pour un crossover de ce type, force est de constater que Mazda ne ménage pas ses efforts. En attendant de se lancer dans l’hybride, comme ses acolytes japonais Honda et Toyota ?

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Prix : 36 950 euros