Le chronographe à rattrapante. Pour le commun des mortels, ça ne signifie peut-être pas grand-chose. Mais pour les passionnés d’horlogerie, il s’agit d’un mécanisme de haute précision assez remarquable. Ce mécanisme du chronographe à rattrapante a été conçu par Louis-Frédéric Perrelet, en 1828.
Perrelet enrichit sa collection
Pour rendre hommage à cet homme, qualifié en son temps de véritable « génie », la manufacture Perrelet a imaginé une édition limitée de son Chronographe à rattrapante. Face au succès de cette montre, Perrelet a décidé d’enrichir cette collection pour l’hiver 2009. Résultat : ce n’est pas une simple montre mais bel et bien trois déclinaisons de ce chronographe qui ont vu le jour.
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Un cadran ajouré de toute beauté
Ce Chronographe à rattrapante semi-squeletté allie l’acier et la céramique noire. Les différentes variantes de cadrans peints de chiffres arabes et d’index luminescents mais surtout ajourés
permettent d’admirer le mouvement mécanique à remontage automatique semi-squeletté. La signature Perrelet en somme.
Le mariage de l’or et de la céramique
Et dans cette nouvelle collection, une montre attire plus particulièrement l’œil. Il s’agit d’une version du Chronographe qui allie or rose et céramique noire. Une façon pour Perrelet d’ajouter une dose de modernité et de raffinement à une montre qui n’en manquait déjà pas !
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