Découvrez les 10 clés du plaisir absolu au lit : zones érogènes à explorer

Lors des préliminaires ou n’importe quelle séance de câlins, vous êtes amenés à vous attarder sur les zones érogènes. Mais que savez-vous à leur sujet ?

1. Une zone érogène, c’est quoi ?

La connaissance des zones érogènes de sa partenaire est primordiale car elles participent aux préliminaires, étape essentielle dans un rapport sexuel.

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Si l’on s’en réfère à la définition Wikipedia, une zone érogène est une partie du corps qui peuvent procurer une excitation sexuelle et un plaisir érotique lorsqu’on les stimule. Ces zones sont donc particulièrement sensibles aux caresses…

2. Il y a plusieurs types de zones érogènes

Evidemment, les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes zones érogènes, du moins, pas toutes. Mais dans les deux cas, il faut savoir distinguer les zones érogènes primaires et secondaires.

Les zones primaires peuvent carrément déclencher un orgasme lorsqu’elles sont correctement sollicitées. Chez l’homme, il s’agit donc notamment du pénis, du gland, du scrotum et du périnée. Chez la femme, on reste dans la même zone, avec le clitoris, les lèvres et le vagin.

À l’inverse, les zones érogènes secondaires contribuent davantage à faire monter l’excitation, à faire naître le désir. Elles varient beaucoup d’une personne à l’autre. Quand certains seront sensibles à une caresse dans le dos, d’autres seront tout émoustillés par un stimulus du lobe de l’oreille…

3. Chez la femme, il n’y a pas que le vagin !

De nombreux hommes font l’erreur de ne s’intéresser qu’au vagin de leur partenaire. Certes, c’est bien là qu’est censé se trouver le fameux point G.

Les zones érogènes « spécifiques » sont des zones sexuelles : clitoris, vulve, seins, ou le mythique point G situé quelque part au fond du vagin.

Mais toutes les zones érogènes des femmes ne sont pas si évidentes. Cela peut-être une zone qui n’a pas l’habitude d’être touchée, comme le bas des reins.

La nuque, la bouche, le dessus du coccyx, le creux des genoux, l’intérieur des cuisses, voire la peau toute entière, sont autant de zones érogènes.

Y aller à tâtons

Vous avez déjà quelques idées pour rendre une femme folle de désir, mais sur quelles parties du corps se concentrer ? Commencez par caresser chaque partie de son corps pendant un moment en effectuant des cercles concentriques plus ou moins appuyés et observez ses réactions.

Jouez avec vos doigts et la paume de vos mains et puis partez à la découverte d’une autre zone ; revenez à la précédente si vous la sentez réceptive.

Inutile de vous attarder si elle n’émet aucune réaction, qu’elle grimace ou repousse votre main : elle attend peut-être que vous passiez à autre chose !

Par contre si elle se contracte, rougit, soupire et halète, bingo, il y a de fortes chances pour que vous ayez trouvé son talon d’Achille !

Trouver la bonne dose

Maintenant que vous avez pointé du doigt son petit secret, à vous de trouver la bonne fréquence et la bonne pression des caresses. Vous règlerez l’intensité des caresses en fonction de ses réactions ; il y a maintes façons de stimuler une zone érogène et les femmes adorent la variété : vous pouvez caresser la zone érogène avec vos cheveux, du bout des doigts ou du menton (avec un bouc naissant de préférence !), la frôler avec votre sexe ou la mordiller.

En vous attardant sur le corps de votre partenaire, vous vous rendrez compte que c’est un immense parc d’attractions, un véritable tapis d’éveil ludique pour enfant qui ne demande qu’à être « sexe-périmenté ».

4. Chez l’homme, le pénis est roi

Désolé, messieurs, mais qu’on le veuille ou non, l’homme a un fonctionnement plus basique de la femme : la majeure partie des zones érogènes sont donc regroupées autour des organes génitaux. Mais cela ne signifie pas que vous n’appréciez pas les caresses sur d’autres parties du corps. A vous de le faire savoir à votre partenaire.

5. Les zones érogènes ne sont pas toujours les mêmes

On l’a dit mais on le répète : malgré l’existence de zones érogènes primaires, tous les hommes et toutes les femmes ne prendront pas du plaisir de la même façon. Cela paraît « évident » chez la femme où l’on peut déjà parler de la différence entre plaisir clitoridien et plaisir vaginal.

Mais c’est aussi vrai chez les hommes, qui n’ont pas tous la même sensibilité au niveau de la verge et cela ne fait pas de vous un être anormal !

6. Comment considérer les seins d’une femme ?

Oui, la poitrine féminine est une zone érogène. En principe. Encore faut-il savoir stimuler les seins d’une femme comme il se doit. De trop nombreux hommes pétrissent, malaxent ou mordent les seins de madame en pensant surtout à leur plaisir. Mais sachez que certaines femmes détestent cela !

Comme la gent féminine est décidément bien compliquée, des femmes pourront atteindre l’orgasme lorsque leur partenaire leur pince le mamelon quand d’autres seront plutôt excitées par un coup de langue délicat sur le mamelon…

7. Et l’anus dans tout ça ?

Croyez-le ou non, mais l’anus est l’une des principales zones érogènes masculines. C’est ici que l’on s’adonne à la stimulation prostatique et que se trouve l’équivalent du point G.

Mais cela reste un tabou pour de nombreux hommes qui ont « peur » de voir dans une pratique anale une déviance homosexuelle…

8. Comment caresser les zones érogènes ?

Une idée très répandue veut que les femmes sont adeptes de douces caresses quand les hommes ont besoin d’un contact plus… appuyé. Mais ce raisonnement est beaucoup trop simpliste.

L’idéal est d’alterner : le rythme des caresses, la partie du corps… Et ne soyez pas uniquement actifs avec vos mains, pensez aussi à votre bouche et à donner de langoureux baisers !

9. Le rapport sexuel n’est pas systématique

Pour de nombreux couples, la stimulation des zones érogènes constitue d’agréables préliminaires. Et même plus que ça ! Il faut bien penser que ces caresses ne doivent pas toujours précéder un rapport sexuel.

Parfois, l’orgasme peut être directement atteint pendant cette phase dite « préliminaire ».

10. Laissez-vous guider

Pour les zones érogènes comme pour toutes les autres problématiques liées au couple et à la sexualité, l’important est d’être à l’écoute de son/sa partenaire.

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Si vous ne savez pas repérer vous-même les zones et les caressent qui l’excitent le plus, n’hésitez pas à le lui demander et à vous laisser guider. Là aussi, l’échange et la complicité sont deux éléments prépondérants pour prendre du plaisir !