La nouvelle Lexus GS sait attirer les regards
Apparue en 2012, La Lexus GS se refait une beauté, tant au niveau de la carrosserie que de l’habitacle, et dispose de trois moteurs – dont deux hybrides – avec des puissances s’échelonnant de 223 à 345 chevaux.
Un restylage subtil mais utile
Lexus a profité du Concours d’Élégance de Pebble Beach, cet été, pour dévoiler le nouveau style de sa berline concurrente des Mercedes Classe E, Audi A6 et autres BMW Série 5 – qui se positionne dans la gamme entre la familiale IS et la prestigieuse LS.
Dans la mesure où la majorité des ventes de GS ont lieu aux États-Unis, il s’agit d’un choix logique, même si Lexus ambitionne toujours de séduire les Européens. Pour ce faire, le bouclier avant a été redessiné, en mettant clairement l’accent sur l’agressivité, de même que les feux avant et arrière.
À l’intérieur, un grand écran de 12,3'' donne accès à un système multimédia connecté plus performant, tandis que la qualité de finition reste digne de Lexus – c’est-à-dire au niveau des meilleures références du marché. La sécurité fait également partie des priorités du constructeur nippon, qui dote désormais la GS du Lexus Safety System, disposant entre autres d’un système de détection des piétons et d’un freinage automatique visant à éviter les collisions.
Des moteurs performants et peu gourmands
Dans sa version 2016, la nouvelle Lexus GS sera disponible avec 3 moteurs – sans compter la tonitruante GS-F et son V8 de 475 ch – mais tous ne seront peut-être pas disponibles en France.
De fait, l’entrée de gamme (200t) dispose d’un 4 cylindres essence de 2,0l de cylindrée et développant 245 ch (ainsi que 350 Nm) grâce à un turbocompresseur, mais son importation n’a pas encore été confirmée. La consommation se montre pourtant raisonnable, à 7,9 l/100 km, grâce à une transmission automatique aux 8 rapports optimisés. Les deux autres moteurs utilisent la technologie hybride, la GS 300h ayant une puissance cumulée de 223 ch pour seulement 4,7 l/100 km.
Quant au porte-drapeau GS 450h, son V6 de 3,5l se combine à un moteur électrique pour transmettre – via une boîte CVT – pas moins de 345 ch aux roues arrière. Coïncidence étonnante, elle atteint 0 à 100 km/h en 5,9 secondes et consomme 5,9 l/100 km.