Une superbe machine volante star de l’exposition Ghibli à Tokyo
Une extravagante maquette de navire géant et illuminé : voici la pièce centrale de la rétrospective du 30e anniversaire du Studio Ghibli. L’œuvre animée est exposée depuis le 7 juillet 2016 au 52e étage de la Tour Mori à Tokyo, et donne l’impression de véritablement naviguer dans les airs au-dessus des innombrables gratte-ciels de cette ville à la pointe des nouvelles technologies.
Ce véritable Château dans le ciel, réplique d'un vaisseau que l'on voit dans le film du même nom, évoque les machines fantastiques farfelues imaginées au 19e siècle à l’aube de l’Age des machines, et contraste admirablement avec la modernité de la capitale japonaise.
Le printemps est enfin arrivé et avec lui, une nouvelle sélection de séries télévisées incontournables vous attend ! Pour ceux qui cherchent à agrémenter leurs soirées ou week-ends, voici une liste d...Lire la suite
Une expo Ghibli absolument géniale
Dotée de dizaines de rames et d'hélices vrombissant en un curieux ballet ponctué d’un bruit de moteur, l’étrange navette du Château dans le ciel s’impose en tant que pièce maîtresse de cette incroyable exposition Ghibli. Cette curieuse machine reflète avec un brin de poésie le côté immature de la société du 19e siècle, face à l’épanouissement de la science.
Le bateau volant est entouré de divers autres engins dirigeables, répliques de plusieurs films du studio Ghibli. Outre cette maquette géante, la rétrospective comporte également des illustrations originales, des expositions interactives, en plus d’un café des plus originaux, servant 11 plats inspirés des films Ghibli.
Le Château dans le ciel, le meilleur film Ghibli ?
Le studio d’animation japonais Ghibli est connu pour ses films comme Le voyage de Chihiro, Mon voisin Totoro, et Princesse Mononoke, sans compter, bien évidemment Le Château dans le ciel. Ce film d’aventure envoûtant, réalisé en 1986 par le célèbre Hayao Miyazaki, est l'une des plus belles réussites des studios Ghibli.
Toutefois, le public français a dû attendre 2003, soit 17 ans après sa sortie au Japon, pour admirer ce chef d'oeuvre au cinéma.