Urinary 2.0 : la révolution hygiénique dans les toilettes publiques
Les Japonais champions de l’innovation concernant le nettoyage intime ont été détrônés par des Espagnols. Eduard Gevorkyan, Ivan Giner et Miguel Angel Levanteri sont en effet à l'origine d'un tout nouvel urinoir baptisé Urinary 2.0.
Uriner c’est nettoyé !
De tout temps, l’être humain a essayé d’innover pour améliorer ses toilettes pour un plus grand confort ou une meilleure hygiène. Récemment, une start-up hispanique a développé un nouveau concept de WC qui peut s’avérer très utile pour la gent masculine.
Dans un monde où les mots construisent des ponts aussi aisément qu'ils érigent des murs, la quête d'entendement mutuel transcende les époques. À l'image de la tour de Babel, symbole ancestral de la d...Lire la suite
Cet urinoir nouvelle génération offre en effet la possibilité aux hommes de nettoyer automatiquement leurs parties intimes pour une hygiène irréprochable.
La sécurité avant tout
Les trois concepteurs de ces toilettes modernes ont privilégié la sécurité. Grâce à des capteurs, l’appareil intelligent détecte automatiquement le moment où l’utilisateur a fini de faire ses petits besoins. Un jet d’eau savonneuse à une température adaptée à la saison est alors projeté (en douceur) sur le pénis.
La technologie très poussée de cette machine permet à l’urinoir de s’adapter à tous les membres, quelle que soit la taille. Ainsi, aucun risque d’être éclaboussé… a priori. Et pour parfaire la toilette intime, un souffle chaud vient sécher le pénis de manière similaire aux sèche-mains, la puissance en moins. Tout a été automatisé à l’exception de l’ouverture et de la fermeture de la braguette.
L’Urinary 2.0 bientôt en France ?
À l'heure actuelle, aucune date n’a été fixée pour la commercialisation de l’urinoir du futur dans l’Hexagone. Mais certains pays européens (peut-être l'Islande, la Suède et l'Autriche), particulièrement soucieux de l’hygiène intime, vont tester en avant-première le produit avant une mise sur le marché plus étendu en cas de succès.
Mais les investisseurs désireux de faire l’acquisition du brevet de l’Urinary 2.0 devront dépenser la somme de 650 000 euros… minimum !
