Et si l’on en finissait avec les idées reçues autour des petits et gros zizis ?

Taille du pénis : on vous dit tout

Trop gros, trop petit, trop ceci, trop cela… La taille du pénis est un sujet qui inquiète de nombreux hommes.

La taille du pénis, la clé d’une sexualité épanouie ?

A la question de savoir si la taille du pénis de leur partenaire est importante pour elles, les femmes dans leur grande majorité répondent « NON ».

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Pourtant, la taille de votre pénis est un détail qui vous tient à cœur en tant qu’homme. Et il faut le dire, cela se comprend aisément. Il est toujours réconfortant de se savoir bien pourvu par la nature. Cela procure assurément un sentiment de fierté, qui plus est lorsque vous savez que votre partenaire y attache une attention particulière.

Pourquoi complexer ?

Seulement voilà, la taille de votre verge n’est pas un sujet qui devrait vous complexer en réalité. S’il est vrai que vous liez (à raison) votre virilité et votre statut d’homme à ce détail important, il n’est pas nécessaire d’en faire un drame. Mieux, la plupart de vos pairs trouve leur verge assez petite, même si pour la majorité, elle est loin de l’être.

Pour vaincre ce complexe, il sied alors que vous puissiez mieux appréhender l’univers de cet organe masculin par excellence, afin d’en comprendre le fonctionnement et de relativiser par rapport au sexe féminin, terrain sur lequel il est appelé à opérer.

Il s’agira pour cela de savoir déjà scientifiquement quelle est la taille d’une verge normale, en érection, et les facteurs qui peuvent influencer l’érection. Ensuite, il sera question de déterminer les troubles qui pourraient justifier un pénis de petite taille, de savoir si la taille du pénis et l’érection sont liés à l’âge, pour essayer enfin de tirer les conclusions idoines. Bref, un sacré programme !

Allez, préparez-vous, on vous embarque pour une grande leçon de sexologie, messieurs !

Quelle est la taille moyenne d’un pénis au repos et en érection ?

10, 12, 18 cm, quelle est la taille « normale » d’un pénis ? A n’en point douter, c’est une question que vous vous êtes déjà posée un certain nombre de fois. Pourtant, vous constaterez plus loin que vous dramatisiez pour rien. La taille moyenne d’un pénis au repos, pour ce qui est d’un homme normal, tourne autour de 9-10 centimètres de long, pour une circonférence de 8-9 centimètres.

En érection, la taille moyenne d’un pénis se situe entre 12,8 et 14,5 centimètres de long, pour une circonférence moyenne de 12-13 centimètres. Ces chiffres sont une moyenne, et pour le docteur Sandra Saint-Aimé, sexologue et clinicienne, présidente du Syndicat National des Sexologues-Cliniciens, « la question de la taille du pénis est à entendre de manière purement indicative en tant que moyenne et non comme une norme figée ».
Sur cette base, dès lors que vous vous retrouvez dans les proportions de verge évoquées plus haut, au repos ou en érection, vous n’avez donc aucune raison de vous alarmer.

C’est dire que vous n’avez pas à envier votre ami qui présente des proportions largement plus impressionnantes que les vôtres. Parce qu’il faut bien admettre que chez certains sujets, la verge en érection peut avoir une variabilité de 14 à 26 centimètres. En ce qui vous concerne, tant que vous vous retrouvez dans les longueurs et circonférences moyennes, vous n’êtes pas malade, vous n’avez aucune anomalie. Tout va bien !

Comment « bien » mesurer son zizi ?

Il est important de préciser que nombreux sont les hommes qui évaluent mal la longueur de leur pénis. Et en ce sens, le docteur Catherine Solano, médecin sexologue, consultante et animatrice de l’émission « Priorité santé » sur RFI vous rassure : « Sachez d’abord que beaucoup d’hommes estiment mal la taille de leur pénis. Il se mesure à partir du pubis où il s’attache, et non à partir de la peau. Ce qui représente souvent 1 à 2 centimètres de différence ».

Il va sans dire que le souci du détail, ou si vous voulez de la mesure, compte pour beaucoup. A 1 ou 2 centimètres près, vous pourriez vous créer un complexe inutile. Et d’autre part, le Dr Solano va plus loin : « Pensez-vous vraiment qu’une femme soit intéressée par la taille du pénis de son partenaire ? La réponse est presque toujours non. Si elle en parle, c’est souvent pour dire en consultation « Mon ami a un pénis trop gros, j’ai peur d’avoir mal » ». De quoi être rassuré, non ? Cependant, il convient d’ajouter que certains hommes souffrent d’un problème de « micro-pénis ». De quoi s’agit-il ?

Qu’est-ce qu’un micro-pénis ?

Un micro-pénis, toujours selon le docteur Saint-Aimé, est un pénis de taille inférieure à la moyenne. C’est une verge de 8-9 centimètres de long en érection, sans que cette taille ne se justifie par un dysfonctionnement ou une malformation. Elle précise généralement, « dès la naissance, le diagnostic peut être posé car le pénis du nourrisson mesure alors moins de 2 centimètres lorsqu’il est étiré ».

En règle générale, l’apparition du micro-pénis est liée à un problème hormonal. S’il n’est pas traité, il peut persister jusqu’à l’âge adulte. Au début de la puberté, la limite pour évoquer l’idée de la verge anormalement petite est de 4 centimètres, puis inférieure à 7 centimètres en pleine puberté (aux alentours de 15 ans). Il faut cependant préciser que malgré sa taille, le micro-pénis fonctionne normalement sur le plan sexuel.

Le développement de la verge commence à partir de la septième semaine de grossesse. Sa croissance est liée aux hormones fœtales. La verge se développe au fil des ans, sous l’effet de la testostérone. Son développement s’accentue pendant la puberté.

Parlant de la détection de micro-pénis, les professionnels de la santé sont souvent confrontés à une difficulté. La plupart des hommes trouvent leur pénis petit. Pour preuve, dans une étude réalisée sur 90 hommes se croyant atteint de micro-pénis, 0% avaient réellement un micro-pénis après un examen et une mesure par un spécialiste. Mieux, dans une autre étude portant sur 65 cas envoyés par un médecin à un spécialiste de micro-pénis, seulement 20, soit un tiers, souffraient réellement de micro-pénis. La plupart de ces hommes estimaient avoir une verge trop petite, alors qu’il n’en était rien. A ce titre, le visionnage de vidéos porno est souvent cité comme responsable.

Par ailleurs, certains hommes obèses se plaignent d’avoir une verge trop minuscule, alors qu’en réalité, il s’agit d’un pénis enfoui. Ici, la partie liée au pubis est entourée de graisse pubienne, donnant une image plus courte du pénis qu’il ne l’est en fait.

La variabilité du pénis

En ce qui concerne la variabilité de la taille du pénis, on distinguera deux cas. D’une part, la variabilité intra-individuelle, et d’autre part, la variabilité interindividuelle.

Au repos ou en érection, ça fait toute la différence

Dans le cas de la variabilité intra-individuelle, la taille de votre pénis peut varier selon qu’il soit en érection ou au repos, mais aussi en fonction de deux situations distinctes de repos. De fait, à la faveur d’une excitation sexuelle, votre gland passe de son état de repos à l’érection, passage au cours duquel il gagne aussi bien en longueur qu’en circonférence.
Entre ces deux états opposés, c’est votre degré d’excitation qui déterminera la taille de votre engin. A noter que la taille au repos n’est pas synonyme de la taille en érection.

La taille au repos peut en effet être conditionnée par certains facteurs comme la température, l’angoisse, l’anxiété, etc. Ce sont des facteurs qui favorisent rapidement le rétrécissement de la verge, les fibres musculaires lisses des corps caverneux se rétrécissant involontairement par contraction. En revanche, suite à une éjaculation, à une érection récente ou dans un milieu à température élevée, votre gland peut étonnamment prendre de la longueur.

Le gland XXL reste une exception

Pour ce qui est de la variabilité interindividuelle, elle est un cas assez rare qui est relatif à des personnes ayant un gland de plus de 20 centimètres en érection. Selon une étude réalisée en 2013 sur 1661 hommes américains par l’université de l’Indiana pour The Journal Of Sexual Medecine, la longueur moyenne d’un phallus en érection est de 14,15 cm et sa circonférence de 12,23 cm.

Ces chiffres corroborent à quelques centimètres près ceux d’une étude publiée en 2015 par la revue d’urologie spécialisée BJU International. Cette étude établit à 13,12 cm la longueur moyenne d’un pénis en érection, et se base sur 15 500 hommes dont le pénis avait été mesuré en procédure standardisée par des professionnels de santé.

Sur la base de ces résultats, il faut dire que très peu d’hommes ont un gland d’une longueur allant au-delà de 20 centimètres en érection, à l’exception de quelques acteurs pornographiques.

La taille du pénis, le vagin féminin et le plaisir sexuel

Pour le docteur Catherine Solano, « la zone la plus sensible du vagin se situe à moins de 4 cm de son entrée. La taille d’un pénis moyen est donc amplement suffisante pour atteindre cet endroit ».

De manière générale, la profondeur du vagin au repos est de 7 à 10 cm. Cette valeur peut s’allonger et passer à 12 centimètres en cas d’excitation. C’est dire qu’en considérant la taille moyenne d’un pénis en érection, elle est amplement suffisante pour procurer du plaisir à votre partenaire.

Peu importe la taille de votre pénis, vous pouvez avoir des relations sexuelles normales, aussi longtemps et autant de fois que vous le pouvez, prendre du plaisir et atteindre l’orgasme. En ce sens, le docteur Saint-Aimé renchérit : « La taille n’a pas d’influence directe sur le plaisir sexuel de l’homme, mais plus sur les mécanismes conscients et inconscients qui permettent à l’homme de se donner le droit de ressentir du plaisir avec son sexe. En effet, l’idée qu’un homme se fait de la taille de son pénis impacte souvent la représentation qu’il se fait de sa propre virilité, et donc la représentation qu’il se fait de sa capacité à prendre et à donner du plaisir avec son phallus ».

Par ailleurs, sachez que la taille de votre pénis n’empêchera pas votre partenaire de jouir. Comme dit plus haut, le plaisir de votre partenaire n’est nullement lié à la taille de votre pénis, puisque dans la plupart des cas, les zones érogènes se trouvent à quelques centimètres à l’entrée du vagin. Sur cet aspect, les conclusions des Docteurs Solano et Saint-Aimé se rejoignent. Cette dernière affirmera que quelle que soit la taille ou la morphologie du pénis de leur partenaire, les femmes vont avoir tendance à valoriser une taille de pénis qui leur convient, c’est-à-dire qui leur procure des sensations agréables voire orgasmiques lors de la pénétration.

En termes de taille, que veulent réellement les femmes ?

Si en règle générale, les femmes ne font pas de drame autour de la taille du pénis de leur partenaire, elles ont quand même des préférences. De fait, selon le type de relation sentimentale qu’elles ont connu, les femmes ont tendance à préférer un profil type de verge au détriment d’un autre, notamment en ce qui concerne leur partenaire.

En comparaison avec la verge d’un coup d’un soir par exemple, la grande majorité des femmes préféreraient que votre pénis en tant que leur seul partenaire soit plus petit. Eh oui messieurs, c’est bien cela ! Même s’il ne s’agit que d’une différence de quelques centimètres sur la longueur et sur la circonférence, ce sont quelques centimètres importants pour ces dames !

Mais pourquoi ce choix ? Simplement parce qu’elles misent beaucoup plus sur le confort physique de leurs relations sexuelles avec vous, lequel confort est procuré par une petite verge, qui plus est lorsqu’il s’agit d’une relation stable qui est appelée à durer dans le temps. Voilà qui est bien malin, n’est-ce-pas ? Voilà surtout une raison supplémentaire pour laquelle vous ne devez pas être gêné si vous estimez avoir un petit membre.

De plus, seulement 2% des hommes de la population mondiale auraient une verge de plus de 20 centimètres, ce qui est certes une prouesse, mais dont vous n’avez très certainement pas besoin avant d’atteindre le septième ciel avec votre partenaire. Alors, rassuré ?

La taille du pénis et la fertilité sont-elles liées ?

D’entrée de jeu, il convient que ce point soit clarifié. La taille du pénis n’a aucune influence sur la fertilité. De même n’influence-t-elle en rien la qualité du sperme qui en sort. C’est dire que vous n’avez aucune raison de vous en faire, dans l’éventualité où vous êtes peu pourvu en phallus.

L’allongement du pénis, c’est possible

Si vous êtes autant complexé par le fait d’avoir une petite verge, vous pouvez toujours envisager une opération. Elle dure entre une demi-heure et trois quarts d’heures, et se fait en anesthésie générale. Cette opération porte le nom de phalloplastie ou pénoplastie, et consiste en une section de la membrane reliant le pubis et la verge, de manière à ce que cette dernière pende davantage.

Mais attention, messieurs : l’idée d’une telle opération doit faire en amont l’objet d’une réflexion approfondie et se doit d’être objective. De même, l’opération doit être réalisée avec la plus grande prudence. La conception de la spécialiste Saint-Aimé s’inscrit d’ailleurs dans cette logique. Elle affirme que, compte tenu des facteurs de risque inhérents à ce type d’intervention, mais aussi des conséquences envisageables tant d’un point de vue fonctionnel que psychologique, il convient de mettre en corrélation la souffrance du patient et le facteur risque de ce type de démarche très invasive. Même sans avoir fait médecine, vous comprenez aisément le niveau de risque associé à une telle intervention.

C’est d’ailleurs pourquoi il vous est conseillé de recourir à un médecin spécialisé en urologie pour vous renseigner. De même, vous feriez bien de consulter un sexologue-clinicien afin de déterminer si votre problème ne peut être résolu par des solutions moins exigeantes, au lieu d’envisager de passer immédiatement sur le billard. Il peut s’agir par exemple d’une approche psychologique.

Dans cette idée, le docteur Saint-Aimé vous encouragera en ces termes : « Dans ce cas, un suivi auprès d’un sexologue-clinicien leur permettra de comprendre l’origine réelle de leur souffrance et de la résoudre lors d’une sexothérapie ».

Une phalloplastie est-elle vraiment nécessaire ?

La phalloplastie est une opération qui consiste à allonger le pénis, afin de lui faire gagner en longueur. Elle n’est cependant pas la seule approche qui vous permet de vous prévaloir de quelques centimètres de gland supplémentaires. Vous pouvez aussi faire l’option des compléments contenant des actifs naturels généralement admis par votre corps. L’insertion chirurgicale de péniennes gonflables est également une solution de traitement du dysfonctionnement érectile et de l’allongement de votre gland.

Dans tous les cas, sachez que les résultats de ces approches varient d’un sujet à l’autre. Après la phalloplastie (qui consiste essentiellement en la coupure du ligament suspenseur de la verge l’attachant au pubis), vous gagnerez probablement 1 à 3 centimètres de plus que la taille préopératoire. Toutefois, en érection après l’opération, votre pénis aura tendance à pointer vers le bas un peu plus que d’habitude. Il est à noter par ailleurs que seulement 60% de ceux qui sont subi une phalloplastie s’estiment satisfaits du résultat.

En résumé, on peut dire que passer sur le billard pour gagner 3 centimètres tout au plus et souvent pointer vers le bas n’est pas forcément la meilleure option. Vous pouvez cependant envisager une lipoaspiration, qui consiste à retirer la masse graisseuse au niveau du pubis, pour un aperçu plus influent de votre sexe et quelques centimètres de plus.

Quand l’âge et les problèmes d’érection s’en mêlent

Peu importe la taille de votre pénis, l’érection est avant tout un phénomène hormonal. Elle est liée à l’équilibre hormonal, vasculaire et neurologique, tant sur le plan physiologique que psychique.

Les propos du Docteur Sylvain Mimoun, gynécologue-andrologue, éclairent davantage sur la question de l’érection. « Quand tout se passe bien, le système neurovégétatif non-commandé par la volonté se met en situation de relaxation, agissant sur le système parasympathique. Le sang circule bien au niveau des artères de la verge, qui ressemble à une éponge : quand elle est souple, elle absorbe bien le sang et l’érection peut se produire ».

Cependant, avec l’âge, la qualité de l’érection est affectée. Etant en amont un phénomène tributaire de votre santé vasculaire, l’âge rend difficile l’arrivée du sang dans les corps caverneux du gland, indispensable à une bonne érection, cette dernière pouvant également être compromise par la perte en élasticité des tissus avec le temps. C’est en outre la voie ouverte à certaines pathologies telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, etc.

Entre 40 et 79 ans, les chances d’avoir des troubles de l’érection en tout genre sont grandes et sont estimées à 52%. En fonction de l’âge, interviennent également certains facteurs psychologiques. Le Dr Mimoun évoque en ce sens des résultats d’études selon lesquels 50% des quinquagénaires et 60% des sexagénaires seraient en proie à des troubles de l’érection.

Panne sexuelle et taille de la verge : aucun rapport !

Dans tous les cas, il va sans dire que les troubles de l’érection ne sont en rien liées à la taille de votre verge. Qu’elle soit petite, moyenne ou grande, lorsque votre gland est enclin à des troubles de l’érection, soyez assuré que ce n’est aucunement lié à la taille. Vous devez donc vous rendre chez un spécialiste afin de vous faire examiner.

De même, peu importe la taille de votre phallus, une érection dure en moyenne 7 minutes à compter du moment de la pénétration, si vous êtes scientifiquement considéré comme un sujet normal et ne souffrez d’aucun trouble de l’érection. En intégrant les préliminaires, ce chiffre passe à une moyenne de 20 minutes. Si vous êtes un sujet anormal, 2 minutes suffisent à votre engin pour redevenir muet.

Le problème de la courbure de la verge en érection

Souvent à partir de 50 ans, certains hommes souffrent de la Peyronie. C’est une déformation en forme de courbure de la verge, qui se fait de manière progressive. A noter que c’est un trouble auquel vous pouvez être confronté si vous êtes jeune, même si la tranche des 50 ans est plus encline à en souffrir.

La Peyronie est un mal qui s’identifie facilement. Elle se manifeste par une fibrose au niveau de l’albuginée, occasionnant de fortes douleurs et une courbure de la verge en érection. Une partie du corps caverneux, très souvent le dos du pénis, est alors affecté par cette plaque. Les intenses douleurs observées au début disparaissent quand le mal s’installe, avec l’apparition d’un coude vers le haut. Cette courbure n’empêche pas l’érection certes, mais elle est à la base de douleurs lors de l’acte sexuel.

Finalement, la taille du sexe, ce n’est pas si important

Le sujet de la taille du pénis est bien délicat, et est logiquement l’objet de nombreuses curiosités. Vous vous posiez sans doute de nombreuses questions. Mais vous avez certainement compris à présent, après lecture de cet article, que la taille du pénis est un détail qui en réalité n’influence aucunement votre épanouissement sexuel, ni celui de votre partenaire. Mieux, vous n’avez pas de raisons de penser que vous avez une verge trop minuscule, si elle s’inscrit dans les standards en termes de longueur et de circonférence.

Oui, tout le monde ne peut pas être pourvu comme Hercule. De même, l’idée de vous faire opérer pour gagner quelques centimètres de tige en plus n’est pas vraiment conseillée, surtout quand on observe les résultats obtenus dans la plupart des cas. Alors, maintenant que vous êtes bien informé sur le sujet, vous vous sentez plus à l’aise avec votre verge ? Si en érection vous êtes au-delà de 20 centimètres, avez-vous la sensation d’être un spécimen rare (car oui, vous en êtes bien un !) ?

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Après tout rappelez-vous surtout d’une chose : l’important, ce n’est pas la taille du zizi, mais la façon dont on s’en sert !