On avait déjà eu droit à quelques montres très sympas pour débuter l’été : colorées, stylées, fraîches… bref, des montres cool ! Mais en ce mois d’août 2024, Seiko met tout le monde d’accord avec la nouvelle déclinaison de sa Prospex Speedtimer.
Ce chronographe solaire, qui s’inspire d’un modèle des années 1960, se distingue par son cadran haut en couleur… mais pas que !
La première montre Seiko dans l’espace
Dans le petit monde de l’horlogerie, Omega n’a pas le monopole de la conquête spatiale ! A côté de la Speedmaster Moonwatch, on vous a déjà cité les exemples de Bulova ou Pobeda, notamment. Mais on a tendance à oublier que Seiko aussi a volé parmi les étoiles dans les années 1970.
En réalité, l’histoire qui lie la firme japonaise à la conquête spatiale remonte même aux années 1960, une période charnière pour Seiko. Déjà renommée pour sa précision et son innovation, la marque s’impose sur la scène internationale du chronométrage sportif en devenant Chronométreur Officiel des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964. Ce succès propulse la marque vers de nouveaux horizons, littéralement, puisque l’astronaute de la NASA, William Pogue, décide de porter une Seiko lors de sa mission Skylab 4 en 1973.
Cette montre, une Seiko 5 SPORTS Speed-Timer, animée par un calibre 6139, devient alors la première montre automatique à effectuer un voyage spatial. Surnommée affectueusement « Pogue », elle se distingue non seulement par son histoire mais aussi par ses capacités techniques : à défaut d’être approuvée officiellement par l’agence spatiale américaine, cette montre aura accompagné Pogue dans son entraînement et dans l’espace, démontrant une fiabilité remarquable même en apesanteur.
Il faut noter que ce modèle authentique (réf. 6139 – 6002) a été vendu aux enchères pour environ 6000 dollars en 2008, la somme ayant été reversée à l’Astronaut Scholarship Foundation, une fondation dédiée à la formation des astronautes..
💡A lire aussi : Ces montres ont marqué l’histoire de la conquête spatiale
Une montre solaire… à tous les sens du terme !
Aujourd’hui, la nouvelle Prospex Speedtimer de Seiko (modèle SSC947P1) rend directement hommage à l’historique 6139.
Esthétiquement, ce chronographe s’inspire directement du modèle original de 1964, notamment par sa lunette bicolore en aluminium avec tachymètre. Désormais pourvue d’un boîtier de 41,4 mm de diamètre, la montre se démarque par son cadran jaune vif (qui rappelle évidemment le soleil), ses compteurs bleus et ses aiguilles rouges, facilitant la lecture du temps. Le verre saphir bombé antireflets et le polissage délicat du bracelet en acier inoxydable ajoutent une touche d’élégance moderne.
Côté technique, on retrouve tout le savoir-faire Seiko. Le calibre solaire V192 alimente le chronographe de 60 minutes, le sous-cadran de 24 heures et offre à la montre une autonomie de six mois sans exposition à la lumière. Étanche à 10 bar et résistante aux champs magnétiques jusqu’à 4 800 A/m, cette Prospex Speedtimer est autant une prouesse technique qu’un accessoire de style.
Disponible dès ce mois d’août 2024 dans les boutiques Seiko et chez les revendeurs agréés, cette nouvelle Seiko s’impose comme l’accessoire incontournable de l’été. D’autant qu’en étant proposée à 700 euros, elle offre un excellent rapport qualité-prix, combinant l’innovation technologique de Seiko avec une esthétique audacieuse !
j ‘ai une montre seiko chronographe que j ‘ ai achetez en 2003 , qui depuis est en panne je l ‘ montrer à un réparateur de montre , il la tester la partie électronique est bonne , il y à un problème au niveau des pièces mécanique l ‘ ont me demande 145.00 € pour la réparer sous toute réserve de trouver les pièces . si c ‘ était une rolex il n y aurais pas eu de problème
J’ai horreur de ces montres mouvement japonais quand je choisis une montre je choisis toujours s’un mouvement suisse plus fiable, meilleure qualité.😃⌚️
Achetez donc une Rolex 🙂