Les Insurgés : des sous-vêtements « engagés »

On les appelle les Insurgés. Matthieu Pinon et Mickaël Bizouati sont deux consommateurs trentenaires qui ne sont pas contents. Mais alors pas du tout.

On les appelle les Insurgés. Matthieu Pinon et Mickaël Bizouati sont deux consommateurs trentenaires qui ne sont pas contents. Mais alors pas du tout. Oui, on pourrait voir là le teaser d’un film d’action. Mais, dans le cas présent, les Insurgés ne sont pas de nouveaux héros de cinéma. Simplement des hommes qui ont décidé de se lancer dans le petit monde des sous-vêtements masculins ! Les Insurgés, c’est donc le nom de leur marque qui vise à transformer l’achat de sous-vêtement, en le faisant passer du « passage obligé » à « l’achat coup de cœur ». Tout un programme.

Le souci du détail
Concrètement, ces sous-vêtements se déclinent dans plusieurs lignes, adaptées à chaque style masculin – militaire trendy, dandy rock, nomade urbain. Les Insurgés revendiquent des produits aux coupes élégantes et confortables, afin de dire au revoir aux « sous-vêtements tristes aux élastiques qui baillent ». Cela se traduit par des caleçons et boxers malgré tout assez sobre, mais qui bénéficient d’un vrai souci du détail, qu’il s’agisse d’un bouton fixé sur la ceinture ou d’une tête de mort brodée renvoyant à l’univers rock.

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Un caleçon pour la bonne cause
Leur côté engagé, les Insurgés l’affirment également lors du passage à la caisse. Ainsi, sur chaque sous-vêtement vendu, la marque propose « l’arrondi de facture ». Ainsi, au lieu de payer les « traditionnels » 29,90 euros, vous pourrez arrondir la facture à 30 euros, l’excédent étant ensuite collecté puis reversé à Pur Projet, une organisation de préservation du climat par le reforestation qui collabore avec une coopérative de producteurs de cacao équitable et biologique au Pérou.