Le jean slim, c’est « so 2005 »… La mode étant un éternel recommencement, les pantalons (trop) près du corps cèdent à nouveau la place aux modèles plus confortables. Une coupe droite à l’ancienne qui permet de dynamiser la silhouette tout en offrant un maximum de confort, sans nécessairement aller jusqu’à la coupe baggy ultra-large prisée par le jeune public.
Pour 2025, une marque joue particulièrement bien cette carte du denim classique, et pour cause, il s’agit d’une référence en la matière : avec The West, Lee propose un jean qui a tout pour plaire…
Lee ressuscite l’esprit pionnier du denim
Si Lee fait figure d’icône dans l’univers du denim depuis plus d’un siècle, la marque ne cesse pourtant de se renouveler. Avec The West, elle opère un retour assumé aux fondamentaux pour 2025 : une coupe droite régulière, un tombé naturel sur les hanches, et cette aisance maîtrisée qui allie allure et confort. Un positionnement qui tranche avec l’obsession récente des coupes ultra-ajustées, tout en refusant l’extravagance des silhouettes oversize.
Pensé pour les hommes en mouvement, The West incarne un parfait équilibre : fonctionnalité urbaine et esthétique classique. Ce jean se distingue par une jambe droite uniforme de la cuisse à la cheville, offrant ce qu’il faut d’espace sans excès. Une coupe flatteuse, donc, qui s’inscrit dans cette tendance vers une mode plus naturelle, plus vivable, plus durable aussi.
Le modèle se décline dans une palette étudiée de teintes et de textures. Du denim écru légèrement stretch au noir soufre subtilement patiné, en passant par un indigo profond qui fleure bon les années 90, chaque version raconte une histoire différente, sans jamais trahir l’ADN Lee. Le confort, lui, est omniprésent, servi par une toile de 13,5 oz adaptée aux usages quotidiens.
Côté style, The West se prête aussi bien à des associations casual (avec un pull en cachemire gris et une veste assortie par exemple) qu’à des looks plus habillés, en noir intense avec blazer structuré et mocassins chunky. Une preuve supplémentaire de sa polyvalence revendiquée.
La revanche stylistique du jean coupe droite
Justement, c’est peut-être aussi cela qui explique la montée en puissance de la coupe droite. Loin d’être un simple effet de mode, celle-ci semble s’inscrire dans une dynamique plus large de revalorisation des coupes classiques dans le vestiaire masculin. Cette saison, on voit beaucoup ce genre de silhouettes vues chez des marques pointues comme Aimé Leon Dore, Auralee ou encore Officine Générale, aussi bien que dans les enseignes de prêt-à-porter plus populaires comme Celio, Muji ou même Levi’s bien sûr. Cette « ligne droite » séduit par sa simplicité maîtrisée et sa capacité à flatter un maximum de morphologies, sans jamais tomber dans l’uniformité.
On observe chez les jeunes générations une volonté de casser les codes hérités des années 2010, où le skinny régnait en maître. Ce rejet du moulant (très visible sur les réseaux sociaux) n’est pas qu’esthétique, mais s’inscrit aussi dans une quête de confort, de mouvement, et d’un certain naturel retrouvé. En somme, un retour à des vêtements pensés pour vivre, non pour figer.
Dans ce contexte, le jean The West de Lee s’impose comme un parfait ambassadeur de ce style moderne sans compromis, d’autant que ses prix restent accessibles (entre 99 et 109,95€). C’est là toute la subtilité de la coupe droite nouvelle génération : elle ne cherche pas à copier le passé, mais à le réinterpréter, avec les exigences d’aujourd’hui. Plus question de rigidité brute ou de coutures rigides : la toile est souple, les finitions précises, les détails pensés pour durer. Bref, une proposition cohérente pour un jean qu’on ne se lasse pas de porter, d’user, et de voir vieillir.