La smartwatch, c’est aussi une question de style
Une montre récompensée à Las Vegas
Pebble avait promis « quelque chose de spécial » pour le CES et cette annonce prend la forme d'une deuxième génération de montre connectée, en acier inoxydable et à un prix défiant toute concurrence. Elle peut d'ores et déjà être précommandée en ligne pour seulement 249 dollars (soit 182 euros).
Dans un monde où les mots construisent des ponts aussi aisément qu'ils érigent des murs, la quête d'entendement mutuel transcende les époques. À l'image de la tour de Babel, symbole ancestral de la d...Lire la suite
Les livraisons de cette Pebble Steel sont prévues pour débuter le 28 janvier 2014, sans frais de port même pour l'international. Pebble devrait lancer son propre portail de téléchargements d'applications au même moment. Succès annoncé, la nouvelle montre connecté de Pebble a été primée lors du CES dans la catégorie « technologie portative ».
300 000 montres vendues pour Pebble
La start-up, qui revendique déjà 300 000 montres vendues, s'est fait un nom grâce à un vaste programme de financement participatif via la plateforme Kickstarter. Aujourd'hui, Pebble propose une gamme de montres connectées et personnalisables, compatibles aussi bien avec l'iPhone (iOS 5 minimum) qu'avec les smartphones fonctionnant sous Android (4.0 et plus). Elles gèrent aussi bien les appels que les activités sur les réseaux sociaux et les alertes relatives au calendrier.
Pebble vs META : une lutte acharnée
Pebble Steel vient marcher sur les platebandes de META, qui a également présenté au CES sa nouvelle collection, oeuvre du designer Frank Nuovo, connu pour avoir longtemps travaillé pour le fabricant de téléphones portables de luxe Vertu. A défaut d'être les plus avancées technologiquement, ces montres se veulent luxueuses, produites en métal et dotées d'un bracelet en cuir. Sa sortie est prévue au printemps 2014 aux États-Unis, sans renseignement sur son tarif.
La tendance est donc à tendre vers des modèles de montres connectées plus « classiques » et moins « geek ». Est-ce donc ça, la clé du succès pour la nouvelle génération de smartwatch ?